L’augmentation constante de la population mondiale et les besoins alimentaires toujours plus grands en poussés les hommes à détruire les forets naturelles pour en faire des terres agricoles. Ils ont aussi développé une pêche intensive ces différentes activités ont contribue à modifier les équilibres naturels et à réduire la biodiversité à l’échelle mondiale.
De nombreuses espèces animales et végétales ont disparu et d’autres sont menacées. Les écosystèmes sont perturbés.
Des décisions politiques, des modes de production plus respectueux de l’environnement ainsi que le choix individuel de chaque consommateur peuvent limiter l’impact de l’Homme sur le milieu naturel et favoriser le maintien des variétés et des espèces.
Selon la définition, la biodiversité est un terme employé pour désigner le nombre total d’espèces présentes dans un milieu.
La biodiversité représente à la fois la diversité des écosystèmes ( ensemble écologique constitué d’un milieu (le biotope) et des êtres vivants qui y vivent (la biocénose), des espèces et la diversité génétique des individus.
La biodiversité est la diversité naturelle des organismes vivants. Elle s'apprécie en considérant la diversité des écosystèmes, des espèces, des populations et celle des gènes dans l'espace et dans le temps, ainsi que l'organisation et la répartition des écosystèmes aux échelles biogéographiques.
Le maintien de la biodiversité est une composante essentielle du développement durable
Le maintien de la biodiversité est une composante essentielle du développement durable
Le mot « biodiversité » est un néologisme composé à partir des mots bio (vie) et diversité.
Au Sommet de la Terre de Rio (1992), sous l'égide de l'ONU, au travers d'une convention mondiale sur la biodiversité, tous les pays ont décidé de faire une priorité de la protection et restauration de la diversité du vivant, considérée comme une des ressources vitales du développement durable.
Le Programme des Nations unies pour l'environnement a annoncé le 12 novembre 2008 la création d'un « groupe intergouvernemental d'experts sur la biodiversité », qui sera probablement nommé Intergovernmental Science-Policy Platform on Biodiversity and Ecosystem Services (IPBES), sur le modèle du GIEC qui, lui, s'occupe du climat.
2010 a été l'année internationale de la biodiversité, conclue par la Conférence de Nagoya sur la biodiversité (2010) qui a reconnu l'échec de l'objectif international qui était de stopper la régression de la biodiversité avant 2010, et proposé de nouveaux objectifs.
Le travil est très satisfaisant ce qui vaut un 17,5 /20 Ordre des gadgets non respectés et commentaires impossiles sur toutes les pages
RépondreSupprimer