« Nous n’héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants »

Milieu de vie



Le développement des zones de protection (parcs nationaux, …) est favorisé par la mise en place de lois.
Ces parcs nationaux permettent  de mieux gérer les ressources et de préserver de nombreuses espèces en danger.

Par la destruction de leur habitat et les prélèvements dans la nature pour alimenter divers commerces, les animaux sauvages, même lorsqu’ils bénéficient de mesures de protection, sont très vulnérables. One Voice agit pour protéger ces animaux de l’avidité des humains et de la disparition de leurs territoires.

Alimentation des zoos, des cirques, du marché des NAC ; commerce de leur fourrure, de l’ivoire, de leur bile, de leur chair ; braconnage, trafic, chasse, etc., partout dans le monde les animaux sauvages sont menacés.

Des lois insuffisantes

Malgré des lois de protection au niveau mondial, force est de constater que le braconnage et les prélèvements dans la nature d’animaux sauvages, y compris d’espèces protégées, se poursuivent. L’ours à collier et l’ours à miel, pourtant protégés par la convention de Washington, car parmi les plus menacés de la planète, continuent, par exemple, à être traqués en Inde ou en Chine pour leur bile ou leur viande, ou encore pour distraire les touristes amateurs « d’ours danseurs ». Les éléphants sont toujours  pourchassés pour l’ivoire de leurs défenses et les tigres pour leur peau et leurs organes, malgré leur présence dans l’Annexe I de la Cites (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction). En Afrique, des lions sont lâchés pour être chassés par des amateurs de safaris ou de chasse aux gros gibiers. Des dauphins sont exploités dans les delphinariums. Toutes sortes d’animaux sauvages sont achetées comme animaux de compagnie. Le réchauffement climatique, les pollutions, la déforestation constituent également une menace pour nombre d’entre eux.


Des solutions inappropriées


Pour les protéger et leur permettre de se reproduire, l’homme prône, par exemple, la détention dans des zoos, des parcs zoologiques et la réintroduction. Ces solutions ne nous paraissent pas appropriées car peu respectueuses de l’animal. Toutes les études scientifiques le démontrent : la captivité n’est pas adaptée à l’animal sauvage qui y souffre de pathologies tant physiques que psychologiques.
Réintroduire un animal en milieu naturel demande beaucoup de temps, notamment lorsque l’animal doit réapprendre à chasser ou s’intégrer à un groupe. De plus, si la réintroduction se fait dans un milieu qui n’est  pas originellement le sien, celle-ci peut être mal acceptée et représenter un danger pour les populations et faune locales, et donc pour l’animal lui-même.


Œuvrer pour le maintien en liberté dans des lieux préservés


Pour One Voice, seule est acceptable, car respectueuse des animaux, la vie en milieu naturel. Aussi, l’association tente, à l’occasion de sauvetages, de rendre leur dignité aux animaux sauvages en captivité, qu’ils soient entre les mains de trafiquants ou de braconniers, d’éleveurs, de zoos ou de cirques, ou encore abandonnés par des propriétaires peu conscients de leurs responsabilités. À travers ses partenariats avec d’autres ONG, One Voice contribue à la création et/ou au développement de sanctuaires dans le milieu naturel des animaux. Soignés et accompagnés dans leur apprentissage de la vie en liberté, ils trouvent dans ces lieux une seconde chance de vivre en animaux sauvages. Les sanctuaires se révèlent également de véritables espaces de protection de la faune et de la flore menacées, ou en voie de disparition, participant ainsi à la préservation de la biodiversité. Par ses campagnes d’information, l’association entend sensibiliser le plus grand nombre à l’intérêt de maintenir et préserver, pour le bien de tous -des hommes, des animaux comme de la planète-, les animaux sauvages dans leur milieu naturel et de protéger leur habitat.
María R et Nora M